La boulette est de taille et semble lancer des doutes concernant l’implication de l’administration Atout dans la défense de la sécurité nationale. Il y a quelques jours, nous avons appris que le rédacteur en chef de l’AtlantiqueJeffrey Goldbergavait été ajouté par inadvertance à une discussion sur le réseau crypté de signal. Le journaliste a ensuite pu assister, abasourdi, à une conversation entre JD Vancele vice-président des États-Unis, Pete Hegsethle secrétaire d’État, Marco RubioDirecteur de la CIA John Ratcliffeet le conseiller à la sécurité nationale (sic), Michael WaltzL’un des sujets de la discussion sur la décision de bombarder les postes houthistes au Yémen. Quelques heures après ce fil de signal, les États-Unis commençaient en fait à bombarder le Yémen. La Maison Blanche a depuis confirmé la véracité de la conversation sur le signal.

Afin de ne pas s’assurer ce qui s’apparente déjà à un scandale national aux États-Unis, le Pentagone a publié un avertissement pour les vulnérabilités de l’application de signal il y a quelques heures. Une note interne, Cité par nprindique que des groupes de pirates russes exploiteraient la fonction des « périphériques » du signal afin d’espionner des conversations cryptées. Le signal a réagi à cette alerte en spécifiant que le problème ne concernait pas son système de chiffrement mais plutôt les attaques par phishing (phishing) visant à ajouter des appareils frauduleux. Dans le contexte actuel, la note du Pentagone apparaît presque comme un petit rebuff face à certaines décisions récentes de l’administration Trump: il y a en effet que le gouvernement Maga avait considérablement réduit les mesures pour limiter les cyberattacs de la Russie. Un timing désastreux pour dire le moins …






