La justice a ordonné aux moteurs de recherche de Google et Bing de ne plus évoquer les sites en streaming ou IPTV Broadcasting League 1. Cette mesure est un nouveau succès pour la Ligue professionnelle de football (LFP) dans sa lutte contre le piratage des championnats Ligue 1 et Ligue 2.
Une victoire LFP contre le piratage de football
À la suite d’une décision de la Cour judiciaire de Paris, la LFP se faire Le droit d’agir de manière préventive contre les sites pour surveiller les matchs de football gratuits et illégalement. Une fois déréférence, les sites ciblés n’apparaissent plus dans les résultats des moteurs de recherche.
La LFP a obtenu le même droit de déréférence pour les offres IPTV. Elle a dit qu’elle « Ra saisira l’autorité de réglementation de la communication audiovisuelle et numérique (Arch) pour étendre la déréférence aux nouveaux services de pirates identifiés au cours de la saison « . Le corps se souvient également d’avoir obtenu des mesures pour bloquer les sites concernés en juillet. Ainsi, l’appareil combine la déréférence et le blocage pour limiter l’accès au contenu illicite.
Ligue 1+ a atteint 1 million de clients
En parallèle, LFP Media, la filiale commerciale de la ligue, a été lancée en août Ligue 1+, sa plate-forme de diffusion pour le championnat de français. Un mois après son lancement, elle a annoncé qu’elle avait dépassé un million d’abonnés. Dans un communiqué de presse, LFP Media a déclaré: « Ce résultat est lié à la forte attachement du public au championnat français de la Ligue 1 et aux clubs français, à une offre éditoriale immersive soutenue par les clubs et à une hyper-distribution efficace ».
Pour soutenir ce début, la ligue a offert des taux d’entrée: 14,99 euros par mois dans le cadre d’un engagement finané et 9,99 euros pendant les trois premiers mois. De plus, « 72% des abonnés actuels de la Ligue 1+ se sont inscrits à toute la saison en cours »dit LFP Media.